Alfred de Musset
M O N U M E N T S ___________________________________________________________
Sépulture de la sœur cadette d'Alfred DE MUSSET,
Hermine-
Très curieusement, lorsque l’on observe la tombe d’Alfred, on voit émerger la statue quelque peu monumentale qui surmonte celle de sa sœur.
Le visage de la statue, son regard du moins, est tourné vers la sépulture fraternelle.
La voici, bien visible.
L’emplacement situé derrière la tombe d’Alfred DE Musset est assez restreint. On aperçoit d'ailleurs le petit enclos de fer forgé qui délimite la tombe du poète.
Dernier hommage à Hermine en lui faisant cette petite place, en voisine éternelle de son frère... ?
Il est à noter que la fameuse statue, à laquelle on peut trouver un caractère pompeux, n’est peut-
Il y a là quelque chose d’étonnant dans la mesure où Hermine a survécu à ses deux frères. Paul DE MUSSET, le frère aîné, s’est retrouvé quelque peu « exilé »... Dans le même cimetière certes, mais sa tombe est très excentrée et ne présente aucune fioriture.
On dit qu’Hermine fut la bienfaitrice d’Alfred après le décès de celui-
Sur le fronton, derrière la statue :
Charlotte Amélie Hermine LARDIN DE MUSSET
Avec pour sous-
Sœur d’Alfred de Musset
1819-
Dessous, les vers suivants :
« Celle qui fut toujours la gardienne fidèle /
De la gloire ô poète, et qui pieusement /
Vécut de souvenirs en ton rayonnement /
Doit dormir près de toi dans la paix éternelle ».
Des noms sont gravés sur la partie basse.
A droite, celui de Paul-
En savoir plus sur Paul-
http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/musset.html
Hermine a épousé Timoléon-
A noter aussi que Paul-
Proximité évidente entre les sépultures…
Autre vue de la sépulture d’Hermine LARDIN DE MUSSET.
On devine davantage l’inscription sur la pierre. Le terrain pentu donne aux photographies cet aspect quelque peu « penché ». Sans compter la présence des arbres qui rend parfois la prise de vue assez difficile.
____________________________________________________
« Le neveu
Paul Lardin n’a que neuf ans quand meurt Alfred de Musset. Mais il garde un souvenir admiratif de ce tonton un peu dandy qui venait volontiers à Angers chasser son spleen. À 19 ans, en 1867, Paul sollicitera et obtiendra le droit d’ajouter à son patronyme, Lardin, celui de Musset. Sous-
Février 2015, JOURNAL DU NTA
Nouveau Théâtre d’Angers -
rédaction : Frédéric-